Jako mâle et jako femelle - danser zako - Saint-Benoît

Numéro d'inventaire

2017.1.4

Désignation

Jako mâle et jako femelle - danser zako

Création/Exécution

Photographe

1999

Auteur

Kugel Karl

Saint-Benoît : Quartier bras-fusil, près du lieu-dit "l

Imprimeur

Auteur

Labopix

Saint-Denis

Matière et technique

Procédé argentique

Digigraphie

Papier

Mesures

Hauteur en cm : 80

Largeur en cm : 60

Domaine

Photographie

Description analytique

"Ce personnage mystique de la culture populaire réunionnaise était associé au culte réunionnais malbare associé à l’image du Dieu singe, du panthéon indien, Hanuman. Dans cette forme vivante aujourd’hui disparu, le jako officiait chaque 1er janvier, dans la plupart des quartiers de l’Ile de l’aube au crépuscule. À la fois raillé et craint il sillonnait les chemins, le corps totalement peint, accomplissant contre quelques pièces de monnaies des rituels et acrobaties.
A Saint Benoît, le nom de Masikondé, grand danser zako, résonne en échos au peuple Makondé et aux maîtres de cérémonies les Wanalombos. Le dernier zako promes est sorti pour une ultime fois à l’aube du 1er janvier 2000, le corps peint par la grande figure du Maloya, Gramoun LéLé."
Extrait du film : "Le dernier Jako Prome, service MAKWALE"

Propriétaire

Département de La Réunion

Gestionnaire

Musée de Villèle

© 2018, Jean-Pierre Woaye-Hune, Musée de Villèle

Droits de diffusion/représentation

© 1997-2000, Karl Kugel